Sophie TAEUBER-ARP, Tapisserie Dada, Composition à triangles, rectangles et parties d'anneaux,1916. Laine, tapisserie au petit point, 41 x 41 cm.
Musée national d’art moderne, Centre Georges-Pompidou, Paris. Legs Mme Ruth Tillard-Arp, 2007.
SOURCE : Centre PompidouMusée national d’art moderne, Centre Georges-Pompidou, Paris. Legs Mme Ruth Tillard-Arp, 2007.
Sophie TAEUBER-ARP, Relief rectangulaire, rectangles découpés, rectangles appliqués et cylindres surgissants, 1936, relief en bois peint, 50 x 68.5 cm, signé et daté sur le dos : SH Taeuber-Arp 1936. Kunstmuseum, Basel. Don de Marguerite Arp-Hagenbach, 1968.
SOURCE : Kunstmuseum Basel.ch
L'Aubette
À
l’origine, le complexe de loisirs de l’Aubette est composé de quatre
niveaux et accueille plusieurs espaces de loisirs. Le public peut ainsi
en l’espace d’une même soirée danser, prendre un verre, faire une partie
de billard ou encore aller au cinéma à l’Aubette. Le complexe de
loisirs incarne la modernité du point de vue des services qu’il propose
mais aussi de son décor qui est réalisé par Theo Van Doesburg, Sophie
Taeuber-Arp et Jean Arp.
Issus des mouvements artistiques d’avant-garde nés après la première guerre mondiale, les trois artistes voient dans le projet de l’Aubette une opportunité de mettre en œuvre à grande échelle les principes portés par ces courants artistiques. L’ambition de ces mouvements est alors de rompre avec l’art du passé, de proposer de nouvelles formes et une nouvelle esthétique à même de créer une œuvre d’art totale. Cette utopie prend à l’Aubette les contours d’une intervention radicale basée sur l’utilisation de la grille géométrique. Ainsi l’ensemble des éléments, du décor des murs, jusqu’au mobilier et à la signalétique, sont pensés et dessinés par les trois artistes.
La modernité des décors inaugurés le 16 février 1928 est désapprouvée par le public. L’intégrité des décors est alors remise en cause par les gestionnaires du complexe de loisirs qui procèdent à des ajouts ornementaux conformes au goût de l’époque quelques mois après l’ouverture. En 1938, l’ensemble des décors de Theo Van Doesburg, Sophie Taeuber-Arp et Jean Arp sont recouverts, faisant ainsi disparaitre l’œuvre originelle.
Au terme de plusieurs années de recherches, le premier étage de l’Aubette est classé au titre des monuments historiques et restauré en 2006.
Les décors de l’Aubette sont aujourd’hui considérés comme une œuvre remarquable de la période moderne. L’Aubette 1928 accueille à présent une programmation contemporaine en écho à sa vocation patrimoniale.
SOURCE : Musées de Strasbourg
Issus des mouvements artistiques d’avant-garde nés après la première guerre mondiale, les trois artistes voient dans le projet de l’Aubette une opportunité de mettre en œuvre à grande échelle les principes portés par ces courants artistiques. L’ambition de ces mouvements est alors de rompre avec l’art du passé, de proposer de nouvelles formes et une nouvelle esthétique à même de créer une œuvre d’art totale. Cette utopie prend à l’Aubette les contours d’une intervention radicale basée sur l’utilisation de la grille géométrique. Ainsi l’ensemble des éléments, du décor des murs, jusqu’au mobilier et à la signalétique, sont pensés et dessinés par les trois artistes.
La modernité des décors inaugurés le 16 février 1928 est désapprouvée par le public. L’intégrité des décors est alors remise en cause par les gestionnaires du complexe de loisirs qui procèdent à des ajouts ornementaux conformes au goût de l’époque quelques mois après l’ouverture. En 1938, l’ensemble des décors de Theo Van Doesburg, Sophie Taeuber-Arp et Jean Arp sont recouverts, faisant ainsi disparaitre l’œuvre originelle.
Au terme de plusieurs années de recherches, le premier étage de l’Aubette est classé au titre des monuments historiques et restauré en 2006.
Les décors de l’Aubette sont aujourd’hui considérés comme une œuvre remarquable de la période moderne. L’Aubette 1928 accueille à présent une programmation contemporaine en écho à sa vocation patrimoniale.
SOURCE : Musées de Strasbourg
Présentation des salles de l'Aubette
Le plan de l'Aubette
SOURCE : My Strasbourg
Sophie TAEUBER-ARP, Jean (Hans) ARP, Théo van DOESBURG, l'Aubette, 1926-1928, le Ciné-dancing.
SOURCE : Pinterest
Sophie TAEUBER-ARP, Jean (Hans) ARP, Théo van DOESBURG, l'Aubette, 1926-1928, le Ciné-dancing.
SOURCE : Afasia Archzine
Sophie TAEUBER-ARP, Jean (Hans) ARP, Théo van DOESBURG, l'Aubette, 1926-1928, le Ciné-dancing.
SOURCE : Flickr
Le Foyer-bar
L'escalier
Le Foyer-bar
Sophie TAEUBER-ARP, Jean (Hans) ARP, Théo van DOESBURG, l'Aubette, 1926-1928, le Foyer-bar.
SOURCE : Sarakirstentravels
Sophie TAEUBER-ARP, Jean (Hans) ARP, Théo van DOESBURG, l'Aubette, 1926-1928, le Foyer-bar.
SOURCE : Flickr
L'escalier
Sophie TAEUBER-ARP, Jean (Hans) ARP, Théo van DOESBURG, l'Aubette, 1926-1928, l'escalier.
Sophie TAEUBER-ARP, Jean (Hans) ARP, Théo van DOESBURG, l'Aubette, 1926-1928, l'escalier.
Sophie TAEUBER-ARP, Jean (Hans) ARP, Théo van DOESBURG, l'Aubette, 1926-1928, l'escalier.
SOURCE : Inferno Magazine
SOURCE : Commons Wikimedia
SOURCE : Commons Wikimedia
La Salle des fêtes
La Salle des fêtes
Sophie TAEUBER-ARP, Jean (Hans) ARP, Théo van DOESBURG, l'Aubette, 1926-1928, la salle des fêtes.
SOURCE : Wikimedia.org
Sophie TAEUBER-ARP, Jean (Hans) ARP, Théo van DOESBURG, l'Aubette, 1926-1928, la salle des fêtes.
SOURCE : Wikipedia.org
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